Après les élections de novembre 2024, la Roumanie s’est retrouvée à un tournant, et ce qui s’est passé depuis n’est pas seulement un incident isolé, mais une série d’attaques directes à la démocratie. Ces attaques ont sapé la confiance des Roumains dans le système électoral, et ceux qui auraient dû protéger l’État de droit l’ont transformé en une farce, mettant leurs intérêts personnels au-dessus de la volonté du peuple. Je tiens à être très clair pour tous ceux qui lisent ces lignes : ce que nous avons vécu jusqu’à présent n’est pas seulement un coup porté aux élections, mais un coup porté à l’essence même de la démocratie !

En novembre 2024, les Roumains sont allés voter et ont clairement exprimé ce qu’ils voulaient pour leur avenir. Călin Georgescu a remporté le premier tour des élections présidentielles. Des millions de Roumains qui ont voté pour lui étaient unis par un seul rêve : le changement ! Le changement face à un système qui a conduit la Roumanie à la faillite économique et morale, le changement face à une classe politique qui a trahi et qui nous garde encore sous le joug.

Mais cela n’a pas été le cas : au lieu que les Roumains choisissent librement leur président au deuxième tour, ce qui s’est passé a été un abus de pouvoir. Dans une manœuvre complètement illégale, sous la pression d’une classe politique qui tremblait face à une option souverainiste, la Cour constitutionnelle a décidé d’annuler les résultats des élections de novembre alors que le deuxième tour était en cours, et Călin Georgescu était massivement soutenu dans la diaspora. Les élections, que les Roumains attendaient avec espoir, ont simplement été annulées. Pourquoi ? Parce que cette classe politique qui gouverne la Roumanie depuis 35 ans craint un véritable changement, craint un président qui met la Roumanie en premier, un homme qui veut que la Roumanie soit un pays souverain, pas une marionnette entre les mains d’intérêts extérieurs.

Cette action n’est pas seulement un abus, c’est une attaque directe contre la volonté du peuple, une attaque contre le droit des Roumains à choisir leur avenir. Mais nous n’avons pas abandonné ! Călin Georgescu reste avec nous, mais maintenant il est temps que ce projet avance. La Roumanie ne peut pas rester entre les mains des partis qui nous ont menti et manipulés pendant des années.

En tant que président de l’Alliance pour l’Union des Roumains, avec Călin Georgescu, après que sa nouvelle candidature ait été rejetée, j’ai décidé de m’engager davantage. Ce n’est pas à propos de moi, ce n’est pas une candidature personnelle. Il s’agit de la Roumanie, de notre avenir ! Je me présenterai à la présidence pour représenter tous ces Roumains qui croient en une Roumanie forte, souveraine, digne et libre !

Maintenant, plus que jamais, la Roumanie doit s’unir ! Nous devons lutter ensemble pour nos valeurs, pour un pays qui ne tolérera plus les abus et les manipulations. Nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Roumanie se libère de l’influence d’une classe politique corrompue et des intérêts extérieurs qui veulent nous contrôler.

La Roumanie a toutes les ressources nécessaires pour devenir une nation forte et libre, et notre chemin vers la normalité ne s’arrêtera pas ici. Nous continuerons à nous battre pour une Roumanie souveraine, pour une Roumanie du peuple, pas des politiciens qui l’ont trahie.

La Roumanie renaîtra!

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